ÉTAT DES LIEUX DE LA TECHNOLOGIE SALE ET DANGEREUSE POUR L’ENVIRONNEMENT DU FLUX MARITIME MONDIAL à vecteur combustible au fuel
Vous avez dû être fortement étonnés, tout comme moi, de voir sur FranceInfos.fr la “mesurette” coûteuse dévoilée, semble-t-il adoptée au niveau mondial, pour passer les tankers et gros navires marchands de fuel lourd… en fuel léger !
INEFFICACE comme CHANGEMENT “RADICAL” QUI POURRAIT “SAUVER LA PLANÈTE” ! Co2 et énergies sales toujours à peu près les mêmes !
Je me suis donc étonné de cela à l’auteure de l’article, en lui proposant “ma” solution (mes anges cristallins inspirateurs de taille, attendus scrupuleusement scientifiques et clairs, impartiaux, par “là haut en moi”…, obligés de se remuer en mes sphères célestes hologramme quantique en mon aura haute, puisque je veux les affirmer doucement voir opérationnels, en ce qui me concerne…)
Sans leur botter les fesses, comme tant d’ingénieurs le vivent très mal sur Terre… Mon beauf centralien en premier. Ce qui l’a évacué par accident d’avion de la compagnie colombienne à combine surbookée en 83 (récemment rebaptisée ‘précipices–t’aimant‘ “Raz-le bol”, évitant de peu l’axe ‘maux-dits’ Paris-Rio – reprise depuis par les ‘jappent-pond-niais’ fortement ‘ass-t’haïs-queues’… à la coupe au bol, bridés des yeux sur leurs budgets sécurité des passagers…, jeux noeuds vous disques passent…! ‘Co-CH’eux-mare’ garantis !)
C’est pour cela que depuis que j’y pense, chaque nuit, je rêve d’un adorable chien interdimensionnel qui jappe… et monte sur mes genoux, puis se met à bander dès que je lui roucoule en fréquences basses ‘add-d’aise-squats’ : Yoooouuuuuuzzzz’hiiiii (inspiration du livre de Salmane Rushdie, dit aussi Sale-manne Bush-disque, le plein ‘d’hume-ourse’).
SOLUTION INNOVANTE POUR LES TANKERS à DOUBLES COQUES (Déjà eux AU MOINS) : USINES AUTO-SUFFISANTES à MÉTHANE ou à HYDROGENE
Les tankers à combustibles dangereux pour l’environnement, sont déjà obligés d’être prévus avec des vides interstitiels important entre leurs doubles coques. Ces espaces vides sont inutilisés. Plus que d’un conversion “simple” d’un fuel lour à une fule léger, il y a mieux à concevoir dès maintenant pour l’énergies propulsant ces navire : DE LES PASSER AU GAZ VERT, nettement moins polluant !
Ce gaz peut être obtenu au sein de ces doubles coques grâce à des usines étagées à méthane faites de serpentins de gros tuyaux fermés éventuellement translucides et éclairés par des néons reproduisant la lumières solaire. Tuyaux très peu en pente (à section à cloisons séparatrices à mi hauteur basse, semi-circulaire), pour y élever dans de l’eau de mer des microalgues produisant de l’hydrogène (ou du méthane).
Ceux-ci fabriqueront de l’énergie en masse, car la difficulté est actuellement de freiner leur croissance en bio-réacteurs ce qui pourrait bien répondre aux besoins énergétiques d’un énorme tanker. Et pour la solution à hydrogène (ou éventuellement à phytoplancton…, mais gaffe car il produit de l’oxygène, comburant de l’hydrogène), en complément comme complément booster, les marins pourraient récolter en mer, au passage des excréments de baleine (puisque l’on vient de découvrir que le plancton en était très friand…) ! Reste à étudier les milieux liquides stables et bactéries et micro-organismes les mieux adaptés pour ces deux vecteurs énergétiques, dont les recherches sont semble-t-il en cours.
Le haut des tubes serpentins à moitié remplis d’eau de mer (en pente douce et cloisonnés tout du long) servira de réservoir de l’hydrogène (ou du méthane/gaz des marais, si avec de l’eau douce et des algues de lacs) sous pression. Un double sas haut d’entrée, raccordé au dessus, et un autre bas en bout de serpentin, seront reliés à des pompes à faible débit, pour faire circulation de la saumure vivante qui saturera l’eau de mer en nano/microalgues adéquates et éventuellement en plancton si nécessaire.
Ces navires devraient donc être la solution d’avenir, si arrivant à être auto-producteurs, auto-suffisants pour leur énergie de transport d’électricité et de chauffage. Mais il faudra veiller scrupuleusement en régions froides que ces tubes soient gardés à la bonne température, le mélange pouvant passer dans un caisson avec serpentin échangeur (côté évacuation de chaleur) de machines frigorifiques ou d’air conditionné utilisées sur le bateau. Mais cela devrait nécessiter en plus une double enveloppe de tubes transparents viviers de culture, de l’air chaud passant entre les deux tubes. Car, le calorifugeage intérieur de l’interstice des doubles coques des tanker, provoquerait une corrosion accrue, avec l’impossibilité de repeindre ces doubles coques si nécessaire..!
A vos crayons les dessinateurs projeteurs, école-haute affirmés pleins d’idées d’innovations douces. Nous sommes de la même école céleste…, ayant oublié d’être “cells” lestes et joyeuses, bien bougés sans stress !
Respirez à fond dans votre Bureau d’Etudes “prison”, cela dégage !
Restera à étudier la même chose en toiture terrasse verte, bio-végétale de votre immeuble… !
Avec de l’eau douce remplies d’algues, de nitrates et de bactéries. Les laides tours glacées à trop d’étages seront oubliées, plus qu’avec d’immenses verrières blindées en toiture qui devront résister à la grêle et aux explosions, mais là aussi, tout sera en tubes résistants en carbone, légers…. Restera à empêcher l’immeuble de ‘sent-vol-laid’ si le méthane produit rajouté de souffre pour sentir les oeufs pourris (à têtes d’oeufs pour rites)
de la part de J.CH-Aqueux-T’haies Serre-T-Vent CHie-Ré-V’herbe-Erre.
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