FUSION FROIDE AU MÉTHANE…, POUR BIENTÔT ?

Au delà de ce que la science espérait, il semble que la fusion froide pourrait aboutir grâce aux recherches et brevets de Andrea Rossi, en continuité des recherches très vilipendées des précurseurs Fiocardi et Piantelli (Université de Sienne en début des années 90).

L’inventeur utilise de l’hydrogène (H2) mélangé dans un réacteur sous pression (2 à 20 bars) à de l’eau, et, à de la poussière de nickel, pour arriver à la fusion des atomes de nickel et d’hydrogène (grâce à la pression et à la montée en température à l’aide d’une résistance électrique de 300 w) – source Science & Vie de mars 2012. L’installation produirait environ 5kW sous forme de vapeur d’eau…, pour seulement un poids de 4 kg…!

Pour lever l’inconvénient de l’hydrogène à fournir (seulement au démarrage…!), explosif et coûteux à produire, pourquoi ne pas utiliser du méthane (CH4) qui comporte encore plus d’hydrogène, n’est pas dangereux et n’exige pas d’électrolyse pour sa production. Disponible en plus en grande abondance.

Le méthane existe déjà dans le lisier des animaux et on sait en produire en digesteur en quantité suffisante pour faire marcher des véhicules au biogaz GNV  : les réseaux de ville à étendre en toute campagne comme précisé sur http://greenjillaroo.wordpress.com.

Si ce procédé de FUSION FROIDE arrivait réellement à tenir ses promesses, il deviendrait très aisé de faire marcher indéfiniment des moteurs électriques, hors démarrage (très facile avec une batterie et un réservoir GNV de petite taille, plus un réservoir d’eau…!). Puisqu’il suffirait d’avoir une micro-turbine branchée à un générateur pour l’alimentation électrique !

Là, quasiment aucune pollution : le système ne rejetterait que de la vapeur d’eau, et seulement un peu de résidus de combustion de méthane juste au démarrage.

Les questions du chauffage et de l’autonomie des voitures électriques, des bateaux, des tankers (enfin sans dégazage et marée noire…!), de tous véhicules, et même de chauffages de maisons et d’immeubles, d’usines… serait entièrement résolues !

Déjà, tous les avantages, la souplesse et la légèreté de la solution “véhicules électriques” serait conservée ! Sans batterie monumentale, comme celles testées actuellement, coûteuses, lourdes peu fiables,  insuffisantes

Mots-clefs : gaz, combustible, recherche fondamentale et appliquée, transport maritime et terrestre, énergie, économies, autonomie énergétique, écologie appliquée, autonomie énergétique mondiale.

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