INNOVATION : TRAITEMENT DES EAUX USÉES EN ÉPANDAGE BIOLOGIQUE SOUTERRAIN “TOUS TEMPS”

DE GROSSES CANALISATIONS en béton armé, lègèrement inclinées, étanches, à ECLAIRAGE U.V. alimentées en eaux usées et plantes flottantes :

Dans le cas du traitement ruineux des eaux usées, j’avais évoqué à mon maire une solution élégante, car enterrée, en grosses canalisations étanches (diam. 2m, ovoïdes pour pouvoir passer dedans, sinon d’engager des pygmées pour ces travaux prétendus “pas propres” alors que totalement écologiques…). Qui soit à câbles de précontrainte pour garde les joints étanches entre tronçons préfabriqués, de manière à ce que ces stations puissent ne pas se laisser infiltrer par des crues…!

Mais pour ces dernières, en amont autant que pour éviter les sécheresses catastrophiques l’été, regardez le blog http://greenjillaroo.wordpress.com d’agroforesterie climatique (en trois langues : FR, GB, ESP), qui règle en même temps le vaste problème d’effet de serre – résolu aisément avec beaucoup d’arbres sur talus entourant des terrasses “rizières” , pour ceux qui connaissent le ratio air humide air sec en thermique – 35 fois moins de chaleur… d’une efficacité remarquable, tel que testé en local 25 ans, la croissance et le filtrage-ombrage des arbres changeant tout, si l’air dense et humide bloqué entre talus, les cultures alors sans nécessité d’arrosage).

Cela, dès deux côtés du long de notre rivière en pente douce avec regards, pour faire à la fois ÉPANDAGES DIGESTEURS… “TOUS TEMPS”  (valable pour climat occasionnellement froid, notre cas même dans La Loire) seulement gravitaire… (sans pompe) ;  et à traitement biologique simple des eaux-usées avec plantes flottantes sur bouchons de sciure agglomérés, placés en amont sous rampe de néon U.V. !

Là aucun besoin de pompes de transfert (toute partie du village forcément plus haut) et encore moins de coût exorbitant de l’installation extérieure d’épandage qui coïnce en temps de gel…), ni d’endettement massif…!

En bout de ces tuyauteries, il suffirait de mettre une vis hélicoïdale inclinée (une partie à couteaux tranchants en bout pour couper les plantes) pour remonter ces boues vers le digesteur à  lisier, à production de compost et de méthane.

Ce méthane servirait à chauffer le digesteur et les grosses canalisations de “station d’épandage enterrée étanche” avec un serpentin en tube acier, pour avoir les 45 °C minimum nécessaires à la bonne digestion du mélange méthanogène.

Et, en cogénération, à fabriquer de l’électricité en plus, sinon de fournir du méthane à véhicules au biogaz, fonctionnant au GNV…, le pied en terme d’auto-no-mis’ss/’auto-no-meute’ complète (v.  le dessin technique ci-dessous)

STATION D’ ÉPANDAGE-LAGUNAGE ENTERRÉE ETANCHE (HORS GEL- Hors CRUES) – fonctionnant aux UV

Accessoire indispensable : une ventilation étanche commandée par un capteur de méthane pour évacuer celui-ci vers le digesteur ou l’extérieur, l’air et l’oxygène indispensable à la croissance des roseaux apporté par les regards précontraints situé assez haut (hors crues, si pas réglées en amont…, comme dit plus haut).

Questions plantes enfermées l’hiver, c’est ce que font des parents proches, suisses (des bons, jeu vous le jure !) pour faire tenir leurs plantes exotiques dans une cave aveugle…, et cela marche !

Cette innovation raisonnable de traitement des boues d’eaux-usées étanche, invisible, sans mécanique complexe, SIMPLE et EFFICACE EN PAYS TROP FROIDS ; de plus fort appropriée là où le manque de place ou la configuration du terrain, l’urbanisation excessive posent problèmes (si à pros-blêmes, jamais dits mieux dans la nature, se vouant dire perfection avec elle…) ! Guère nombreux de nos jours !

Car des innovations ” ne débouchant sur rien”…, en plus pas estampillées centres de recherches étatiques (traînant des pieds pour faire carrière et recherches “difficiles” ou “incontournables”)…,  on en a raz-le-bol en France. Et, en Europe même, jouant les techno de façade, on s’en ‘mets-fils’ comme de la ‘pête-Est’ !

Cette idée résolvait tous nos problèmes locaux, déjà par chez moi…! Mais silence “deux mordent” du côté de la Mairie (pas assez de “sucre” à en retirer en dessous de tables ???)… ; en réduisant l’importance linéaire et la fragilité des canalisations à la tenue aléatoire par temps de gel d’une station d’épandage ouverte…!

Cette innovation peut même être modulée en différents endroits autant qu’on le veut (groupes de maisons dispersées le long de la rivière…, ou plus haut, en chaque ferme !

Toutes devenues station-service productrice d’électricité par cogénération, micro-usines  invisibles répartie en autarcie énergétique en toutes nos campagnes (plus obligées de “jouer” aux agriculteurs productivistes forcenés) à biogaz… “propre”, très utile à récupérer et à brûler puisque le méthane des lisiers est 23 fois plus à effet de serre que le CO2) !

L’AJOUT DE NOS TRAVAUX DE CONSCIENCE QUANTIQUE POUR LE NETTOYAGE DE LA PLANÈTE

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