Des villas flottantes rotatives à modules flottants triangulaires (pour creuser les déserts) aux villes à modules étoilés sur bases hexagonales…

COMMENT REMÉDIER à LA MONTÉE DES OCÉANS

EN CREUSANT LES DÉSERTS à PARTIR DU LITTORAL ?

Le seul moyen capable de limiter la montée des mers et océans due à l’effet de serre accru consistera à creuser les déserts les plus à plat à partir du littoral.

Pour ce faire, il serait possible :

  • de construire des barges flottantes modulaires sur la base de triangles flottants assemblés différemment entre eux pour être transportables par mer (forme de barges) et autonomes sur les flots ; puis de les assembler en hexagones habitables une fois le long des côtes des déserts, avec des saillies triangulaires en étoile ;
  • qui tournantes en dessous (de la partie habitable sur pneus) feraient assez de tourbillons d’eau périphériques pour déplacer et repousser le sable des déserts sur le côté des canaux ainsi progressivement réalisés en pénétration à partir des côtes plates désertiques.

Ces maisons flottantes et tournantes à saillies “terrasses” étoilées seraient donc contrarotatives (grâce aux roues les séparant) éventuellement disposées articulées et inclinables du genre variateurs de vitesse sur coupelles toroïdales…, la partie éolienne habitable tournante avec ses volets plus ou moins ressortis en sens inverse de la partie immergée (à étoiles terrasses de forage).

UTILISATION DANS L’INTÉRIEUR DES CONTINENTS DÉSERTIQUES : L’avantage de ces ensembles modulables en barges est qu’ils pourraient être remontés le long des fleuves plats (comme sur le Nil ou le fleuve Amour, à partir de leurs estuaires).

SE SERVIR DES VENTS DOMINANTS… et autres : dans les déserts du type du Sahara où le vent dominant est contraire sur la côte Atlantique, la “foreuse habitable tournante” ne pourrait attaquer la côte qu’avec les jours à “vents de mer”, et sinon de remonter dans les déserts en zigzag quand face au vent de terre, comme pour un voilier ! –

Usure des pointes étoilées : En raison de la pénétration dans le sable, il serait nécessaire que les flotteurs soient faits en béton armé prise mer, creux et remplis de polystyrène. Et les pointes et bords d’attaque des pointes des étoiles munies de plaques d’acier anti-usure démontables et interchangeables type soc de charrue.

Accessoires : L’ensemble des hexagones ne devra pas dépasser 12 m de largeur (sous forme de barges le passage en canaux français ne dépassant pas 13 m de large) pour pouvoir circuler en canaux étroits. Les modules flottants (habitation tournante comprise), seront de la hauteur d’une bordée de péniche et la hauteur totale pour passer sous les ponts de ces canaux étroits.

Les modules triangulaires flottants auront donc 6 m maxi de côté, y compris les jeux et amortisseurs faits de pneus de camions.

EXTRAPOLATION à URBANISATION AINE…, FLOTTANTE, MOBILE !

Sans aller jusqu’au genre “Venise” en train de s’enliser…, ou villas noyées aux bords des mers et des rivières en crue…, des immeubles circulaires (sur modules flottants décrits plus haut) autonomes en énergie et déplaçables tel des navires, avec immeubles de deux ou trois étages à terrasses en dégradé :

  • les eaux usées traitées en bacs de jardinage en terrasses étoilées, l’énergie éolienne captée en toiture avec des algues pour faire de la climatisation naturelle ombragée ainsi qu’à chaque étage ;
  • une unité solaire à désalinisation de l’eau de mer (ou saumâtre avec palétuviers plantés autour pour retenir les immeubles flottants) ;

Voilà une solution élégante et complète pour traiter la surpopulation actuelle en gagnant sur les déserts en villégiature et transports aquatiques sains (à voile ou à turbines Turvor).

Que les convaincus de tels changements réels enfin possibles s’y mettent, avec l’aide de financements participatifs puisque les états traînent des “pis-haies”…!§!

CONCLUSION : de ce fait, notre société technologique (“t’ai-que-n’ose-l’eau-gicle” ?)  qui aime les prouesses absurdes et sales…, seules “prêts-tendus” capables de tourner stupidement en rond en leurs déserts…, n’a enfin plus d’excuse pour faire mieux ! En reverdissant et peuplant enfin les sous-continents arides ou désertiques. Ni de faire mine de ne plus pouvoir vaincre des catastrophes climatiques et planétaires ruineuses, pour nous racketer tant et plus…, en faisant semblant de chercher des solutions “introuvables” !