AÉROPORT FLOTTANT AUTO-STABLE EN MER (et, à la place de Notre-Dame-des-Landes ?)…

LE PROJET D’AÉROPORT à “NOTRE-DAME-DES-LANDES” EST INSOLUBLE

… en raison de la nature peu stable des sols de cette région marécageuse !

Ce qui est reconnu par des études d’experts et, entraînerait des coûts exorbitants de construction, avec des grandes incertitudes ruineuses à long terme pour la stabilité des pistes…!§!

Sans parler des contraintes écologiques et environnementales énormes qu’un tel aéroport imposerait à cette région humide, une des rares en France encore préservée…!§!

LA PARADE EXISTE :

  • UN AÉROPORT à CAISSONS FLOTTANTS EN MER, MAINTENU SUR PLACE PAR DES HYDROLIENNES DONT CERTAINES FERAIENT LE COURANT NÉCESSAIRE AU FONCTIONNEMENT DE L’ENSEMBLE !

Ces caissons, en béton étanche, seraient creux à la base et au dessus, reliés de manière souple entre eux, tout en comportant au dessus une dalle flottante pour les pistes (par plots intégrés sur des lits d’eau de mer, dans chaque haut de caisson).

Les caissons flottants auraient des bords intérieurs creux arrondis pour remédier au déplacements d’eau supportant les plots/pistes, et leurs bords extérieurs également arrondis pour absorber les forces des vagues. L’excès d’eau de ces vagues viendrait remplir leur creux supérieur.

L’autre solution serait de prévoir des caissons latéraux totalement amortisseurs de vagues, avec les parties annexes dessus…, etc.

Enfin, comme certains ont eu l’idée originale D’AÉROPORT à PISTE CIRCULAIRE, ce concept pourrait être particulièrement adapté à des aéroports flottants de cette forme, les “hydrogares” d’accès en étoile autour ou situées au dessous :

L’ÉNERGIE ÉOLIENNE / HYDROLIENNE ABONDANTE ET GRATUITE !

ÉOLIENNES : Elles pourraient être envisagées de part et d’autre des pistes, aux endroits non névralgiques.

HYDROLIENNES : Sous chaque caisson flottant, des hydroliennes à axe horizontal, orientées sur pilier support rotatif (autour de leur axe vertical) permettrait de les disposer dans toutes les directions de courants et de marées…, à la fois pour lutter contre les courants marins, mais aussi, pour faire de l’électricité en stabilisant l’aéroport en position fixe par rapport aux côtes.

Les hydroliennes pourraient être basculantes du bord du dessus des caissons flottants vers leur dessous, afin de permettre un entretien et un contrôle plus aisé de celles -ci, ou sinon, placées en bordure sur des puits de descente verticaux coulissants.

Le tout serait géré en orientation en plan et en résistances des turbines (orientation des pales / résistance du générateur) de manière automatique avec un support Galileo à GPS précis (niveau militaire).

L’autre solution consisterait à stabiliser l’aéroport face au courant par des treuils (avec câbles fixés au fond de la mer) fournissant de l’énergie électrique en se déroulant lentement. Tous les treuils étant synchronisés entre eux !

Cette conception pourrait même faire “ferme d’énergie renouvelable :

  • la nuit, en période creuse ( mais calculée en tenant compte des besoins d’énergie des futurs avions électriques de toutes tailles…) ;
  • et de jour, de fournir plus de courant que les besoins de l’aéroport, dont une partie pourrait partir à terre vers les villes/villages proches.

 

  • RÉSERVES IMPORTANTES D’ÉNERGIE RENOUVELABLE : les caissons étanches en béton armés peuvent être partiellement creux par en dessous et stabilisé en couche intermédiaire par de l’air fortement comprimé qui, tout en servant de ballasts pour les pistes  (à différents niveaux d’enfoncements localement amortis grâce à des capteurs dans l’eau / tempête ou mer lisse) permettrait la stabilité des pistes et assureraient un STOCKAGE IMPORTANT d’énergie électrique renouvelable !
  • L’on sait depuis peu que le béton des romains, fabriqué à l’eau de mer, était trés résistant, puisque certains ouvrages enccore existant de nos jours !

AVANTAGES ENVIRONNEMENTAUX INDÉNIABLES !

Ce type d’aéroport pourrait être facilement envisagé en des baies assez calmes, et/ou situés assez  loin des côtes pour éviter tout effet de tsunami éventuel. Une étude fine des courants et des tempêtes nécessaire, avec celle en bassin de carène des caissons flottants optimaux.

LIAISONS à TERRE : elles pourraient être en partie réalisée par beau temps via des plateformes périphériques semi-circulaires ou semi-elliptiques (éventuellement brise-lames à croisillons dessous pour protéger les pistes principales à caisson d’un seul tenant…), faites pour recevoir des hélicoptères, et des bateaux légers, rapides, électriques, à foils (du genre de ceux expérimentés sur la Seine à Paris, ou plus longs : http://www.latribune.fr/entreprises-finance/la-tribune-de-l-energie-avec-enedis/seabubbles-le-taxi-electrique-volant-bientot-teste-sur-la-seine-728379.html) dans les creux de ces caissons entre eux.

N.B. : ce projet, résumé ici succinctement, a été soumis au Ministre de l’Environnement Nicolas Hulot, sur son compte Twitter le 26 mai 2017.

Comme pour le scandale des surfaces de supermarchés, non déclarées et en  trop (dénoncé par une association faite de deux personnes), l’État “francschais” ne peut plus faire mine de ne pas savoir !§!

Tout comme cet État ‘rites-poux’ ne peut plus dire que l’euro n’aura pas augmenté exagérément depuis sa création, quand une voiture achetée avant l’euro était jusqu’à 18 fois moins chère (conversion légale faite) qu’une voiture électrique actuelle (pourtant plus facile à construire) !

Les mensonges d’États n’arrêtent plus…, et pas qu’en France !§!